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Je Donne

L’avenir au féminin

Robin Fowler, B. A. 1990, M. Ed. 1996, fait partie de l’impressionnant groupe de diplômées qui veille sur la prochaine génération de femmes leaders de McGill.

Robin Fowler

Où trouve-t-on un conseil de bénévoles composé entre autres d’une juge à la cour provinciale, d’une directrice de comptabilité judiciaire et d’une cheffe de secteur chez Google ?

À McGill, bien entendu ! Ces femmes figurent parmi les talentueuses diplômées de McGill à la tête d’une initiative nommée Women, Leadership & Philanthropy Initiative.

Communément appelée WLP, l’initiative vise à accroître la représentation des femmes dans les postes de leadership, de gouvernance et de philanthropie. L’initiative est actuellement active dans quatre villes (Montréal, Toronto, Vancouver et New York), ainsi qu’à l’international grâce à LinkedIn.

« Dans quelques années, les femmes contrôleront la moitié de la richesse de notre pays et elles joueront un rôle important — en affaires, en sciences, en philanthropie et dans la société en général », affirme Robin Fowler, B. A. 1990, M. Ed. 1996, membre du conseil consultatif et actuelle parente de deux étudiants à McGill. Mme Fowler est vice-présidente de la St. Michael’s Hospital Foundation à Toronto et est impliquée avec la WLP depuis ses débuts.

Il y a dix ans, Robin Fowler et d’autres diplômées ont voulu savoir : « Pourquoi y a-t-il autant de diplômées à Toronto qui ne sont plus en contact avec McGill ? Comment souligner l’impact qu’elles ont dans leur champ d’intérêt et les possibilités qu’elles créent pour la prochaine génération d’étudiantes ? »

Comme toutes les membres du conseil consultatif, Robin Fowler était l’une de ces étudiantes. Pendant sa majeure en études russes, elle habitait dans le ghetto McGill, étudiait à la bibliothèque, fréquentait Gerts et se faisait des amis pour la vie. « Tout ça était important pour moi. McGill est un endroit incroyable. »

C’est aussi à McGill qu’elle a entamé une carrière en philanthropie. Étudiante, elle a travaillé dans les bureaux de campagne téléphonique où elle sollicitait les anciens diplômés et les parents pour qu’ils donnent à l’Université. Une fois son diplôme en main, elle a continué à travailler dans le secteur de la philanthropie. « J’ai directement constaté l’impact des collectes de fonds », affirme Mme Fowler. « En tant qu’étudiante, je ne payais que 570 $ de droits de scolarité. Les donateurs soutiennent tellement de secteurs importants à l’échelle de l’Université. » 

Les femmes joueront un rôle important — en affaires, en sciences, en philanthropie et dans la société en général.” 

Lorsqu’elle a quitté McGill pour aller travailler en Australie, sa mère l’a poussée à faire son testament, « parce qu’on ne sait jamais ». Bien qu’à l’époque, elle était encore jeune, elle ne regrette en rien de l’avoir fait — ni d’y avoir inclus un legs à McGill. « Ça allait de soi. J’encourage tout le monde à faire son testament et à réfléchir aux lieux qui ont marqué leur vie. Bien souvent, c’est leur université. »

Voilà pourquoi elle fait don de son temps à la Women, Leadership & Philanthropy Initiative, déploie des efforts pour le financement d’une bourse de stage pour la Faculté des arts et agit à titre d’ambassadrice de dons planifiés pour sensibiliser les gens à l’importance de laisser un legs à l’Université.

« Faisons tous notre part et soutenous la prochaine génération de leaders. C’est si important, et si facile de choisir McGill. »