Skip to main content
Je Donne

À la rencontre de Ram Panda, nouvel ambassadeur principal des dons planifiés à McGill

L’ancien président du Conseil des gouverneurs est prêt à relever de nouveaux défis

Ram Panda

Ram Panda (M. Ing. 1971, M.B.A. 1977) est déjà l’un des plus importants bénévoles de l’Université et il est sur le point d’assumer un autre rôle de premier plan.

Auparavant président du Conseil des gouverneurs de McGill et président du Comité consultatif de la Faculté de génie, Ram Panda est actuellement membre à titre personnel du Conseil des gouverneurs et membre de la direction de Forgé par McGill : La campagne de notre troisième siècle. Il s’attache maintenant à relever un nouveau défi : il succède à Ann Vroom (B.A. 1967) au poste d’ambassadeur principal des dons planifiés de l’unité Legs et dons planifiés de McGill.

« J’ai accepté ce poste parce que les dons planifiés me tiennent à cœur, explique Ram Panda. Ils comportent de nombreux avantages que les gens ne connaissent pas. »

« Ram est le candidat idéal pour remplir cet important rôle de promotion des dons planifiés, croit Marc Weinstein, vice-principal (Avancement universitaire) de McGill. Il a toujours été l’un des bénévoles et des bienfaiteurs les plus dévoués de l’Université; il donne des conseils, transmet son savoir et apporte un soutien philanthropique aux facultés et à l’ensemble de l’Université. »

Une expérience mcgilloise très formatrice

Originaire de l’Inde, Ram Panda est venu à Montréal à 21 ans pour étudier aux cycles supérieurs à l’Université McGill. Il se souvient encore des longues journées passées au Pavillon de génie McConnell, des fins de soirée au Bens Deli et de la joie de rencontrer des étudiants et des professeurs venant du monde entier.

« Mon expérience à McGill a été tellement extraordinaire que je n’ai jamais quitté Montréal, raconte‑t‑il. Je me souviens de chaque événement : ma visite de l’Expo 67, mon premier concert, la crise d’Octobre, les référendums. À travers tous les hauts et les bas, je suis resté à Montréal. »

C’est dans cette ville qu’il a choisi d’installer le siège social d’Invera Inc., l’entreprise de logiciels qu’il a cofondée peu de temps après avoir terminé sa maîtrise en administration des affaires à McGill. L’entreprise a maintenant des bureaux à l’étranger, mais son port d’attache demeure Montréal. Et la raison principale qui explique ce choix est la présence de l’Université McGill.

Le désir de donner au suivant

Ram Panda est resté en contact étroit avec l’Université après la fin de ses études : il a fait des dons annuels à la Faculté de génie et a été un parent mcgillois deux fois plutôt qu’une puisque ses filles Seema (B.A. 1997) et Tanya (B. Com. 2001) sont toutes deux des diplômées de l’Université McGill. Un jour, Martha Crago, alors doyenne des études supérieures et postdoctorales, l’a appelé pour l’encourager à assumer des fonctions de direction, ce qui l’a amené à faire du bénévolat.

« Ce fut une expérience formidable, et j’aimerais pouvoir y consacrer encore plus de temps. Les projets réalisés sur le campus au cours des dix dernières années comptent vraiment parmi les plus emballants que j’ai vus à McGill. »

Ram Panda joue également un important rôle philanthropique à McGill, notamment en soutenant le développement durable. Il a créé la bourse Eric L. Adler en génie électrique en l’honneur de son ancien directeur de recherche, les bourses James et Daisy Mathison pour le développement durable en génie en hommage à un ancien professeur, les bourses Ram et Durga Panda pour le développement durable en génie, qui porte son nom et celui de son épouse, et la bourse de recherche Panda en développement durable en génie et en conception. Il a récemment fait un don important en appui au nouveau Fonds d’aide aux étudiants et aux chercheurs en situation de crise de l’Université McGill.

« J’ai toujours eu la conviction que les gens doivent soutenir leur communauté tant qu’ils sont actifs, alertes et pleinement investis, explique-t-il. J’ai fait cela de deux façons : en donnant maintenant et faisant un don planifié. »

Son legs sera affecté aux activités de génie; son don annuel à la Faculté se poursuivra ainsi après son décès.

Il existe beaucoup d’idées fausses sur les dons planifiés, mais Ram Panda espère les déconstruire durant son mandat d’ambassadeur principal des dons planifiés. « Ils sont fiscalement avantageux, et les gens peuvent donner un petit pourcentage de leur succession. Il n’est pas nécessaire de donner un million de dollars pour qu’un don soit considéré comme un legs. Personne ne sait combien d’argent il aura besoin dans l’avenir, mais en y réfléchissant, les gens se rendent compte que presque tout le monde peut apporter une contribution par l’entremise d’un don planifié. »

Consultez la liste complète des ambassadeurs des dons planifiés de McGill. (en anglais)

Façonnez le troisième siècle de McGill. Planifiez votre legs dès aujourd’hui.