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« Cette bourse d’études change réellement la vie »

Les leaders Schulich 2024 de McGill sont exactement ce que l’on attend des récipiendaires de la plus importante bourse d’études en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques du Canada : des étudiants de haut niveau et des chefs de file reconnus qui se passionnent pour les STIM
 

Leaders Schulich de McGill en 2024

Daniel Valentini n’en croyait pas ses yeux lorsqu’il a lu la lettre l’informant de sa bourse d’études Schulich Leader.  

« J’ai appelé McGill pour confirmer, et on m’a dit que c’était vrai. Je pense que j’étais sous le choc », a raconté Daniel, diplômé du Collège Dawson à Montréal, qui entre à la Faculté des sciences de l’Université McGill.

Daniel Valentini est l’un des six nouveaux leaders Schulich de McGill récipiendaires de la plus importante bourse d’études en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM) du Canada. Les bourses sont d’une valeur de 100 000 $ pour les étudiants inscrits à des programmes de sciences, de technologie ou de mathématiques, et de 120 000 $ pour les étudiants en génie.

Nami Dwyer, de Canmore (Alberta), et Thanasis Wees, de Comox (Colombie-Britannique), entament également des études en sciences à McGill.

Les trois leaders Schulich qui entrent à la Faculté de génie de McGill sont les Montréalais Andreea-Nicole Calenciuc et Yanni Klironomos, et Allison Hutchings, de St. John’s (Terre-Neuve).

Seymour Schulich, B. Sc. 1961, M.B.A. 1965, D. Litt. 2004, diplômé de l’Université McGill, a créé ce programme de bourses d’études visionnaire pour encourager les meilleurs talents à devenir la nouvelle génération d’innovateurs en technologie avec des aptitudes entrepreneuriales. Chaque année, les bourses Schulich Leader sont attribuées à 100 élèves d’établissement scolaire secondaire et collégiale qui s’inscrivent à un programme de premier cycle en STIM dans 20 universités partenaires au Canada, dont McGill.

« Cette bourse d’études change réellement la vie, a raconté Daniel Valentini. Elle me permet de concentrer toute mon attention sur mes études et de consacrer mon énergie à influencer le monde grâce à des innovations en bio-informatique. »

Daniel entreprend une spécialisation conjointe en informatique et en biologie à McGill. « Je m’intéresse beaucoup à la biologie moléculaire, en particulier à la génomique. Je pense que l’informatique est l’outil le plus puissant pour innover dans ce domaine », a-t-il expliqué. 

Il a participé à un projet de recherche en bio-informatique lors d’un stage, ce qui l’a incité à poursuivre des études à la croisée de la biologie et de l’informatique. Pour l’avenir, il souhaite diriger une jeune entreprise.

À l’instar de tous les leaders Schulich, Nami Dwyer a accompli des choses impressionnantes avant d’arriver à l’université. « J’ai dirigé un audit sur l’efficacité énergétique à l’échelle de l’école, ce qui a débouché sur la mise en œuvre de pratiques durables au sein de mon conseil scolaire », a mentionné Nami, qui se passionne pour les STIM et le leadership dans la collectivité.

Elle a d’ailleurs présenté le projet lors d’un sommet de la jeunesse à la COP28 des Nations Unies à Dubaï, où elle figurait parmi les quatre jeunes délégués représentant le Canada. Elle a également siégé à des conseils de jeunes dans sa ville natale ainsi qu’au Japon, où elle a passé une partie de sa onzième année (elle parle couramment le japonais).  

« Je suis très reconnaissante de l’occasion qui m’est offerte de faire partie de la communauté Schulich », a déclaré Nami Dwyer.  

À Terre-Neuve, Allison Hutchings a appris l’heureuse nouvelle de sa bourse Schulich Leader alors qu’elle quittait une séance d’entraînement d’athlétisme. 

Le fait de remporter ce prix m’ouvre un monde de possibilités,” avance Allison. 

« Cela me permet d’élargir mes horizons et de fréquenter une université à l’extérieur de ma province d’origine, de me concentrer sur mes études et de perfectionner mes compétences en leadership sans me soucier des finances. » De plus, la bourse donne accès au réseau Schulich Leaders et Allison ajoute qu’« un vaste réseau d’étudiants, de professionnels et d’entrepreneurs partageant les mêmes idées qui, je le crois, me sera très utile à l’avenir. »

Allison étudiera le génie informatique, en raison de son grand intérêt pour l’informatique, le codage et la robotique. Elle a été capitaine de l’équipe de robotique de son école secondaire, qui a participé au championnat du monde de véhicules téléguidés MATE ROV de 2024, et aimerait un jour lancer sa propre entreprise technologique.

Thanasis Wees a dirigé le club de mathématiques de son école, a lancé un camp d’été en plein air pour l’enseignement des mathématiques aux jeunes et a occupé un poste de direction au sein du Comox Youth Council sur l’île de Vancouver. Il prévoit se spécialiser en informatique et en mathématiques à McGill. « J’ai choisi ces disciplines parce qu’il s’agit de compétences très utiles et commercialisables et que ce sont également des éléments de base des sciences cognitives », a-t-il dit.  

« J’espère faire des recherches sur la manière d’appliquer diverses méthodes ou technologies pour modifier la structure de notre système d’éducation », explique Thanasis, qui souhaite créer une plateforme de tutorat individualisé à l’aide de l’intelligence artificielle. 

Andreea-Nicole Calenciuc est inscrite au programme de génie logiciel. « J’ai choisi ce programme parce que j’ai une véritable passion pour la programmation et la résolution de problèmes en général. Cela m’aidera à acquérir des compétences polyvalentes qui peuvent s’appliquer à un éventail d’industries », explique Andreea-Nicole, qui souhaite poursuivre une carrière d’ingénieure en logiciel et créer de nouvelles technologies qui améliorent la qualité de vie des gens. 

Diplômée du Collège Marianopolis à Westmount (Québec), la jeune femme est fière de son mémoire de fin d’études collégiales « dans lequel j’ai présenté certains des modèles mathématiques et informatiques les plus couramment utilisés en finance quantitative. Je suis également fière d’avoir joué un rôle exécutif au club de recherche de mon cégep, où j’ai mis sur pied le premier projet de laboratoire dirigé par le club, qui portait sur la contamination des eaux usées. »

Yanni Klironomos, diplômé du Collège John Abbott de l’Ouest-de-l’Île de Montréal, est inscrit au programme coopératif de génie logiciel. Il espère un jour créer une entreprise qui mettra au point des logiciels pour aider aux diagnostics de santé, entre autres.

« Cette bourse me permet de me concentrer entièrement sur mes passions, ce qui me donne la possibilité de créer mon cheminement de carrière et mon avenir de rêve », a expliqué Yanni, enthousiasmé par la capacité de la technologie de faire progresser différentes sphères de la société.

Pendant ses études au cégep, ce jeune homme a notamment travaillé comme assistant de recherche en nanosciences et a participé à une étude psychologique en tant qu’étudiant-chercheur.

« Je suis enthousiaste à l’idée du chemin à parcourir et honoré de me joindre à d’autres leaders Schulich [de McGill], a déclaré Yanni. Je suis extrêmement reconnaissant à la Fondation Schulich d’avoir créé cet effet d’entraînement positif. »