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Je Donne

Ambassadrice des activités sportives de l’Université McGill

L’admiration que voue Sally McDougall aux étudiants-athlètes a motivé son don testamentaire.

Photo of Sally MacDougall

« Selon moi, les étudiants-athlètes sont les meilleurs représentants de l’Université McGill », explique Sally McDougall, titulaire d’un baccalauréat ès sciences (1968), d’un diplôme en sciences de l’éducation (1969) et d’un doctorat en littérature (2013).

« Qu’ils pratiquent la natation artistique, le rugby, la voile ou le football, je les trouve magnifiques. Ils travaillent fort, ils se donnent à fond dans leur sport, et ils gagnent. »

Elle est bien placée pour le savoir, puisque sa famille compte de nombreux athlètes de McGill. Son père, Chip Drury (B. Ing. 1939), était une vedette sportive, ses quatre fils ont tous défendu les couleurs de McGill dans le cadre de compétions sportives, et elle a elle-même pratiqué trois sports universitaires. Au fils des années, elle a siégé à l’ancien comité des sports féminins, au comité du Temple de la renommée des sports, au Conseil des gouverneurs, et a endossé différentes fonctions au sein de l’Association des diplômés de McGill et de la Fondation Martlet. Elle demeure à ce jour une formidable ambassadrice de l’Université.

« Je suis impressionnée par les jeunes d’aujourd’hui, ajoute-t-elle. De nos jours, la vie des étudiants est bien plus compliquée qu’elle ne l’était à l’époque où j’étais aux études, et ce, à bien des égards. »

Elle ne tarit pas d’éloges à l’égard des étudiants-athlètes mcgillois, et tout particulièrement de ceux dont l’équipe n’est pas entièrement subventionnée. « Étant donné que rien n’est prévu pour eux, ils acquièrent de solides compétences. Ce sont eux qui engagent des arbitres et tracent leur propre voie. Lorsqu’ils se qualifient aux championnats canadiens, c’est en grande partie grâce à leurs deniers personnels. Avec peu de moyens, ils se rendent très loin, et c’est d’autant plusmarqué chez les équipes féminines. »

Aider les équipes sportives féminines de deuxième rang et partiellement subventionnées de l’Université McGill, c’est précisément pour cela que Sally McDougall fait un don testamentaire.

« Faire un don testamentaire a été pour moi l’occasion d’anticiper l’avenir. Ça m’a permis de penser de manière stratégique et de prendre le temps de réfléchir à ce que je voulais léguer. Je souhaite soutenir les athlètes, car le sport aura toujours besoin de financement, aussi bien aujourd’hui que demain. »

Les raisons qui ont motivé son don sont les mêmes qui la poussent à faire du bénévolat : « Je le fais parce que j’en ai envie et parce que je veux apporter ma pierre à l’édifice. Je ne connais pas l’histoire de tous les étudiants, mais je sais que chacun d’eux en a une. Mon don les soulagera un peu. Ce sera ça, ma contribution. »

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