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Je Donne

Pourquoi je suis ambassadeur des dons planifiés à McGill

« Je n’ai aucune réserve à redonner comme je le peux. »

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Croyez David Davidovic lorsqu’il affirme ceci : les étudiants de McGill d’aujourd’hui sont difficiles à battre. « Je suis heureux de ne pas concurrencer avec eux, car ils sont absolument impressionnants », déclare David Davidovic, B. Sc. 1979, M.B.A. 1988.

Et il sait de quoi il parle. Bien qu’il vit actuellement en Californie, ce titulaire de deux diplômes des cycles supérieurs de McGill conserve de solides liens avec l’Université. Il est conseiller pour le Centre Dobson pour l’entrepreneuriat, membre fondateur de M-GEN (le groupe de technologies et d’innovation mondiales de McGill en anglais : McGill Global Tech and Innovation Group) et membre du conseil consultatif régional de McGill pour la côte Ouest des États-Unis.

« Le succès, la créativité et le leadership de mes collègues diplômés de la côte Ouest me renversent », déclare David Davidovic. « Avec le recul, je réalise que McGill m’a bien préparé pour la brillante carrière que j’ai menée. Je ressens un immense sentiment de gratitude envers cette université. »

David Davidovic affirme qu’il s’est retrouvé à l’Université McGill par un « heureux hasard ». Originaire de l’Équateur, il avait un frère ainé qui travaillait au Canada, et celui-ci lui a suggéré de s’inscrire à une université canadienne. « Il y a eu très peu de planification, les événements se sont simplement enchaînés, et j’en suis extrêmement reconnaissant. Mon expérience à McGill a été fantastique. »

Je ressens un immense sentiment de gratitude envers cette université.” 

Il se souvient d’avoir assisté à des conférences données par Ronald Melzack, éminent chercheur sur la douleur, Brenda Milner, neuropsychologue, Joseph Milic-Emilii, physiologue de la respiration, John Seely, néphrologue et Henry Mintzberg, expert en gestion.  « Ce ne sont que quelques noms dont je me souviens. Ce n’est que plus tard dans ma vie que j’ai réalisé, à mon grand étonnement, la notoriété de ces chercheurs. »

David Davidovic a continué ses études et obtenu une maîtrise en administration des affaires à la Faculté de gestion Desautels pour ensuite gravir les échelons de l’industrie pharmaceutique. Il a pris sa retraite à titre de vice-président chez Roche et Genentech, mais travaille toujours comme consultant et conseiller, en plus d’offrir gracieusement de son temps à McGill et à d’autres organisations. « J’ai beaucoup appris au fil des ans et je tire une satisfaction de transmettre aux autres mes connaissances. »

En plus de son bénévolat, il est un donateur de McGill. Il s’est engagé à offrir à l’Université McGill un don testamentaire — une clause de legs dans son testament — et agit comme ambassadeur des dons planifiés. Son don planifié permettra à des étudiants aux ressources financières limitées d’avoir accès à une éducation de qualité grâce à de l’aide financière.

« Non seulement mon expérience à McGill était-elle incroyable, mais elle n’était vraiment pas dispendieuse par rapport aux autres universités. J’ai maintenant l’occasion de soutenir les autres, et je n’ai aucune réserve à redonner comme je le peux. »

Il encourage ses anciens collègues à maintenir leurs liens avec McGill et à soutenir cette université s’ils en ont les moyens. « J’espère que ceux qui le peuvent apporteront un soutien financier. Sinon, participer à des événements locaux d’anciens diplômés ou agir à titre de mentor peut aider énormément. Votre attachement à McGill perdure bien au-delà de vos études. »

He encourages his fellow alumni to maintain their ties to McGill, and to support it if they have the means to do so. “Some may be able to assist financially, and I hope they do. For others, participating in local alumni events or serving as a mentor can make all the difference. Your connection to McGill doesn’t end the day you graduate.”