Skip to main content
Je Donne

McGillois un jour, McGillois toujours, même de l’autre côté de l’océan

Des diplômés de McGill en Europe demeurent attachés à l’Université

Photos of alums Michael Colson, Philippe Lette and Kit van Tulleken

Vos liens avec l’Université McGill ne se brisent pas lorsque vous franchissez le portail Roddick, une fois diplômé. Parlez-en à Michael Colson, à Philippe Lette et à Kit van Tulleken.

Les trois diplômés habitent en Europe et continuent de s’investir à l’Université comme membres bénévoles du Conseil consultatif régional de McGill pour le Royaume-Uni et l’Europe.

Michael Colson (B.A. 1991, M.A. 1996, B.C.L./LL. B. 1996) habite Genève, Philippe Lette (B.C.L. 1968), Paris, et Kit van Tulleken (B.A. 1967), Londres.

« Des milliers de diplômés mcgillois vivent à l’étranger, et ils ont tous une histoire à raconter, fait remarquer Michael Colson, maintenant directeur de programme à la Fondation Edmond J. Safra. L’Université McGill m’a ouvert l’esprit et élargi mes horizons; le bénévolat est donc une occasion de donner en retour. »

Expatrié depuis de nombreuses années, Philippe Lette pratique le droit chez Lette, Lette & Partners. Il a déjà siégé au Conseil consultatif de la Faculté de droit et a reçu un prix de reconnaissance pour services exceptionnels de l’Association des diplômés de l’Université McGill.

« Je suis fier d’être McGillois, dit-il. Je ne crois pas que j’aurais pu recevoir une meilleure formation en droit. Plusieurs de mes amis les plus proches sont aussi des diplômés mcgillois, et je me suis fait beaucoup de nouveaux amis par l’entremise du réseau de l’Université. »

Lorsque Kit van Tulleken a émigré au Royaume-Uni après ses études, son diplôme de McGill lui a permis d’acquérir « un prestige instantané; un peu comme pour les universités d’Oxford, de Cambridge et Harvard. Mon diplôme a joué un rôle déterminant dans ma vie. » Conseillère en stratégie et ancienne journaliste à la BBC, la diplômée mcgilloise est également bénévole pour le Prix de littérature historique Cundill, qui est administré par l’Université McGill.

En plus de leur travail bénévole, les trois McGillois soutiennent l’Université par l’entremise d’un legs inscrit dans leur testament. Le don planifié de Michael Colson aidera les Priorités de McGill, celui de Philippe Lette soutiendra la Faculté de droit, et celui de Kit van Tulleken appuiera le Fonds des legs de la doyenne de la Faculté des arts.

« Je devais rédiger un testament, explique Michael Colson. Lorsque je me suis mis à la tâche, il m’a semblé tout à fait naturel que je pense aux établissements qui m’ont façonné. Un pourcentage ira à trois organismes caritatifs, dont l’un est l’Université McGill. »

En 2009, Philipe Lette a créé les Bourses de recherche en droit comparé Philippe Lette. Le legs qu’il fait à McGill continuera de soutenir ses bourses remises annuellement ainsi que l’Université en général.

Pour Kit van Tulleken, « Ça allait de soi. C’est très facile à faire, même si on ne donne pas un gros montant. Nous, les diplômés mcgillois, avons reçu une formation à laquelle la plupart des gens n’osent rêver. »

Tous les legs reçus en 2021 seront pris en compte dans le Défi 200 ans, 200 legs, qui vise à recueillir 200 legs pour le Bicentenaire de McGill.

Un don planifié « est un moyen simple, mais efficace de contribuer, estime Michael Colson. C’est la meilleure façon de remercier l’Université pour la formation que j’ai reçue et l’expérience que j’ai vécue. »

En ce qui concerne l’avenir de McGill après les célébrations de son Bicentenaire, il ajoute : « Je crois que l’Université est très bien placée pour entamer son troisième siècle d’existence. Ses plans sont vastes, audacieux et ambitieux et, en tant que diplômé, j’ai très hâte d’y participer. »

Quel sera votre héritage?
Relevez le Défi 200 ans, 200 legs. Planifiez votre legs dès aujourd’hui.

Legacy gifts