Alice Hollis, adjointe aux communications au Pôle bien-être étudiant de l’Université McGill, adore son travail. Jour après jour, elle aide des étudiantes et étudiants à prendre soin de leur santé physique et mentale pour favoriser leur réussite.
Et l’enjeu est de taille. En effet, le Forum économique mondial estime que la santé mentale chez les jeunes est le plus grand problème de notre société moderne. D’après son cadre de 2020 pour la santé mentale des jeunes, plus de la moitié vivent au moins un épisode de troubles mentaux avant l’âge de 25 ans.
Les années universitaires sont marquées par de grands changements. C’est le moment de préparer sa carrière, d’élargir son réseau et de s’ouvrir davantage au monde. Mais, tout stimulant et révélateur qu’il soit, ce passage vers la vie d’adulte apporte son lot de défis, parfois même de crises. Il est donc crucial de mettre en place des réseaux de soutien pour la population étudiante. Il faut les entourer de compassion, d’empathie, de bienveillance et de compréhension.
Il est donc crucial de mettre en place des réseaux de soutien pour la population étudiante.”
C’est la mission du Pôle bien-être étudiant de McGill : tendre la main à celles et ceux qui ont besoin d’aide.
Or, sans le généreux apport des donatrices et donateurs, le Pôle ne pourrait continuer de garantir la gratuité et l’efficacité de ses installations et services essentiels à la population étudiante, comme ses espaces communautaires, ses vidéos éducatives sur la santé sexuelle ou ses séances de zoothérapie. On n’imagine pas le pouvoir sur la santé mentale et l’humeur des jeunes d’une seule heure passée avec les chiens que nous amènent des bénévoles.