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Je Donne

La distance n’a aucune importance

Lorsque Carol Hoi Kar Yuen est retournée vivre à Hong Kong, elle a apporté McGill dans ses bagages.

Bronfman Building at dusk

Peu après l’obtention de son diplôme de la Faculté de gestion Desautels de l’Université McGill, Carol Hoi Kar Yuen (B. Com. 1998) est rentrée à Hong Kong – littéralement à l’autre bout de la planète. « McGill se semblait très très loin », se rappelle-t-elle.

Tout a changé en 2010, lorsque le Bureau de l’Université McGill en Asie a ouvert ses portes. « Alvin Chung a rétabli les liens avec les diplômés, une personne à la fois, explique Carol. J’ai commencé à recevoir régulièrement des nouvelles de McGill, et j’ai décidé de me rapprocher de mon alma mater. »

Carol siège au conseil consultatif de McGill en Asie et apporte un appui indéfectible à l’Université. Elle a fait un don planifié – un legs inscrit dans son testament – à McGill, et elle encourage les membres de la communauté diplômée à faire de même.

C’est son expérience en finance qui l’a incitée à prendre cette décision. Avant de cofonder sa propre société d’experts-conseils à Hong Kong, elle a travaillé chez Goldman Sachs, et elle considère que la planification successorale est un élément essentiel de la planification financière. « J’ai vu des cas de différend et de dispute familiale à la suite d’un décès subit. Un testament ou une assurance vie est un moyen facile de faire œuvre utile. »

Elle a aussi été témoin des retombées de la philanthropie. « Les choses ont changé depuis mes années à McGill. Le Pavillon Bronfman a accès à un terminal Bloomberg; ça m’impressionne. Les diplômés font des dons à la Bibliothèque de McGill ou créent des bourses pour les étudiants dans le besoin, et cette générosité a des répercussions sur des générations. »

Carol garde de très bons souvenirs de son séjour à McGill. Étudiante, elle a fondé la Operations Management Society, a participé à un concours international d’études de cas et a fait appel au Service de planification de carrière et au Centre Dobson pour l’entrepreneuriat. « J’ai vécu une expérience incomparable. »

Grâce à son don planifié, affecté aux Priorités de McGill, la prochaine génération pourra avoir les mêmes chances qu’elle. « Le monde change tellement vite, et je sais que l’apport de McGill à ce monde sera toujours positif. Mon don pourrait permettre à des étudiants dans le besoin de devenir avocats, médecins ou politiciens et de créer un monde meilleur. »

Son don est pour elle une autre façon de participer à la vie de l’Université de l’étranger. « Rien ne pourra remplacer nos souvenirs et notre attachement à McGill. La distance n’a aucune importance – nous voulons tous voir l’Université poursuivre son œuvre. »