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Investir dans un avenir vert

McGill s’engage à créer une planète plus sûre et plus saine, tout comme nos donateurs

Photo of a deer.

Au cœur des priorités de McGill se trouve l’engagement à créer une planète plus sûre et plus saine. En fait, plus d’un cinquième du corps professoral et du personnel de McGill œuvre directement dans la recherche sur le développement durable ou des travaux connexes à celle-ci. Dans toutes ses facultés et disciplines, des centaines de chercheurs travaillent à comprendre les dimensions environnementales, économiques et sociales de la viabilité.

Ces personnes font d’importants progrès dans la conservation des écosystèmes, la réduction des déchets plastiques dans l’environnement et l’élaboration de solutions pour atténuer le changement climatique, pour ne citer que quelques domaines. Andrew Gonzalez, titulaire de la chaire Liber Ero en biologie de la conservation, dirige un laboratoire qui examine les moyens à prendre pour prévenir la perte irréversible de la biodiversité. Nathalie Tufenkji (B. Ing. 2000), titulaire d’une chaire de recherche du Canada sur les biocolloïdes et les surfaces à la Faculté de génie, cherche des solutions à la crise mondiale de la pollution plastique dans les sols et l’eau douce. Des chercheurs de McGill, dirigés par le professeur de génie Benoit Boulet (M. Ing. 1992), directeur du Centre McGill Engine, ont mis au point une technologie plus abordable et plus efficace pour alimenter les autobus et les camions électriques.

Photo of Marc Bieler

L’année dernière, les efforts croissants de McGill en matière de durabilité ont reçu une puissante impulsion grâce à un investissement philanthropique record de 15 millions de dollars par l’entrepreneur agroalimentaire Marc Bieler (Dipl. Agr. 1958, B.A. 1964) et son épouse Marie Bieler (B. Sc. Agr. 1980). Ce don vient soutenir l’enseignement interdisciplinaire, la recherche et l’apprentissage expérientiel à l’École de l’environnement de McGill, qui s’appellera désormais l’École de l’environnement Bieler en reconnaissance de cette générosité exceptionnelle.

« M. Bieler, dont toute la carrière est enracinée dans la terre, comprend que nous devons trouver des solutions aux dangers environnementaux qui nous menacent, et il reconnaît que McGill possède l’expertise pour le faire », explique Frédéric Fabry (B. Sc. 1988, M. Sc. 1990, Ph. D. 1994), directeur de l’École de l’environnement Bieler.

« Grâce à son savoir d’envergure internationale dans un vaste éventail de disciplines, l’École Bieler peut maintenant conférer à une nouvelle génération de chefs de file environnementaux les compétences, la souplesse et la perspective mondiale qui sont nécessaires pour relever les défis environnementaux d’aujourd’hui et de demain. »

Comparant son don à un caillou lancé dans un lac, M. Bieler espère que son geste motivera ultimement d’autres personnes à soutenir l’important travail accompli à l’École. « Savoir, c’est pouvoir. Je suis convaincu que cet investissement propulsera l’École vers de nouveaux niveaux d’excellence et encouragera d’autres personnes à soutenir son travail crucial. »

Photo of a sea urchin on a pebble beach.

Un engagement à lutter contre le changement climatique

Consciente que le ralentissement du changement climatique commence au pas de sa porte, l’Université s’est dotée de trois ambitieux objectifs énoncés dans son nouveau plan d’action, la Stratégie sur le climat et le développement durable de McGill pour 2020-2025 : obtenir d’ici 2030 la cote Platine du système de suivi, d’évaluation et de notation de la durabilité (STARS), atteindre zéro déchet d’ici 2035 et atteindre la neutralité carbone d’ici 2040.

Le Conseil des gouverneurs de l’Université a également approuvé un plan d’action ambitieux visant à réduire considérablement l’empreinte carbone de son portefeuille de dotation en retirant les entreprises à forte intensité de carbone et en augmentant considérablement les investissements dans les énergies propres et renouvelables, l’efficacité énergétique, les bâtiments écologiques, la prévention de la pollution, la viabilité des réseaux d’eau et d’autres fonds à faible intensité de carbone.

Le Fonds du siècle vert de McGill

De même, consciente qu’un nombre croissant de philanthropes partagent son engagement en faveur de la durabilité environnementale, McGill offre une possibilité de placement innovante aux donateurs qui font un don d’au moins 100 000 $ : ceux-ci peuvent désormais placer leurs capitaux dans un nouveau segment du fonds de dotation global de McGill, le Fonds du siècle vert. Ils sont alors investis dans des actions mondiales excluant les entreprises qui produisent ou gardent en réserve des combustibles fossiles ou qui produisent de l’électricité à partir de charbon thermique.

« Un grand nombre de donateurs de McGill se reconnaissent dans notre ferme engagement à protéger la santé de la planète, affirme Marc Weinstein (B.A. 1985, B.C.L. 1991, LL.B. 1991), vice-principal à l’avancement universitaire. Grâce au Fonds du siècle vert, leurs dons peuvent se bonifier au fil du temps dans un portefeuille qui respecte cet objectif. »

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