Cofondateur d’un comité consultatif régional. Coanimateur d’un gala tenu à New York pour souligner le troisième siècle de McGill. Superviseur des actifs d’un organisme sans but lucratif. Voilà qu’un aperçu des postes bénévoles occupés par Harold J. Trischman, B. Sc. 1983, en tant qu’ancien de McGill.
« On était quelques-uns à se demander dans la région du Grand New York, “comment se fait-il qu’il n’existe aucun groupe régional pour représenter McGill?”, raconte Harold J. Trischman. « Nous sommes de nombreux diplômés ici, c’est devenu très actif. »
En plus d’être membre fondateur du conseil consultatif de la côte Est des États-Unis, il est aussi directeur de l’OBNL The Friends of McGill University, inc., membre du New York Finance Group ainsi que du U.S. Parents Leadership Council, et enfin, ambassadeur de dons planifiés.
Je suis devenu vraiment engagé une fois que la génération suivante a marché dans mes traces.”
« Les conseils de McGill sont composés de gens de haut calibre. En plus d’être brillants, les gens sont tous prêts à y travailler. C’est devenu de plus en plus enrichissant. »
Originaire du Connecticut, M. Trischman a étudié à McGill où il a fait une majeure en biochimie, joué au rugby et appris le français. Il travaille aujourd’hui en finance et récemment, il s’est classé parmi les meilleurs conseillers en gestion du patrimoine de la liste Forbes.
« Le programme de biochimie était exigeant », admet-il. « Mais je crois que l’approche rigoureuse de McGill par rapport aux études m’a bien préparé pour ma carrière. »
Il a aimé faire ses études à McGill, mais c’est lorsque son fil John, B. A. 2015, a fréquenté l’Université qu’il a réellement apprécié son statut actif d’ancien diplômé. « Je suis devenu vraiment engagé une fois que la génération suivante a marché dans mes traces, lorsque j’ai réalisé que l’Université avait un impact sur l’ensemble de la famille. »
Il dirige cet engagement, notamment, dans les efforts de collecte de fonds : M. Trischman se dit « un fervent philanthrope. J’ai soutenu l’équipe de rugby ainsi que la campagne Forgé par McGill, et je laisse aussi un legs à McGill.
Un legs — par exemple sous forme d’une clause testamentaire — présente des avantages. « Aux États-Unis, nous avons l’impôt sur les successions. Mais tous les contribuables peuvent faire, à leur décès, autant de dons de charité souhaités, contournant ainsi l’impôt. Ces dons peuvent avoir un grand impact sur les organismes bénéficiaires, alors que de leur vivant, les donateurs n’en sont pas affectés. »
À tous ceux intéressés de connaître les occasions de s’impliquer en tant qu’anciens diplômés, Harold J. Trischman leur recommande « de se pencher sur la question. Si plus d’anciens s’impliquaient, l’Université aurait un autre siècle d’existence assurée. Il n’y a pas meilleur investissement. »