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Créer une vision mondiale de la santé

Les donateurs aident l’École de santé des populations et de santé mondiale de McGill à tracer une voie audacieuse pour l’avenir

Samir Gouin

Avec la pandémie de COVID-19, les questions de santé mondiale font la manchette des médias, mais ce sont depuis longtemps des priorités à la Faculté de médecine et des sciences de la santé de McGill. Les recherches révolutionnaires que la Faculté a menées sur la tuberculose ne sont qu’un exemple des contributions de McGill à la santé des populations au Canada et dans le monde.

L’École de santé des populations et de santé mondiale de McGill s’appuie sur ce savoir exceptionnel et trace une voie audacieuse pour l’avenir.

Cet établissement interdisciplinaire regroupe l’unité d’éthique biomédicale, les départements d’épidémiologie, de biostatistique et de santé au travail, les programmes de santé mondiale de McGill et l’Institut des politiques sociales de la santé – ainsi que leurs prestigieux programmes d’études supérieures. Il vise à former des leaders, à réduire les inégalités en matière de santé et à favoriser des recherches et un enseignement qui auront un impact certain.

Le Dr Tim Evans (photo ci-dessous) est directeur et doyen associé de l’École, vice-principal associé (politique mondiale et innovation), et directeur administratif du Groupe de travail sur l’immunité face à la COVID-19 créé par le gouvernement fédéral en 2020. « À mon avis, la vision d’ensemble veut que le Canada et donc les institutions canadiennes jouent un rôle beaucoup plus important dans les questions de la santé mondiale. Je pense que McGill est en excellente position pour faire bouger les choses. »

Tim Evans
: Owen Egan

L’accroissement du soutien des donateurs contribuera à la réalisation des projets ambitieux de l’École. Le Dr Evans et ses collègues ont l’intention de créer un programme de premier cycle de pointe pour répondre à la demande croissante des étudiants en matière de formation en santé mondiale, ainsi qu’un nouveau programme de maîtrise en entrepreneuriat dans le domaine de la santé mondiale. Ils veulent accroître la diversité afin que les étudiants de l’École reflètent les communautés mondiales qu’ils serviront. Ils cherchent à établir des partenariats avec des organismes de première ligne au Canada et dans le monde entier et à former des leaders afin de garantir la préparation aux futures urgences sanitaires mondiales.

Créer des compétences axées sur l’avenir en matière de santé pour le monde entier

Les programmes de santé mondiale de McGill, fleurons de l’École, offrent déjà aux étudiants des possibilités d’apprentissage international : des expériences enrichissantes hors les murs, rendues possibles par les généreux donateurs de McGill.

En raison des restrictions qui interdisent les voyages en raison de la COVID-19, les boursiers de 2020 en santé mondiale comme Samir Gouin ont travaillé à distance sur leurs projets. « Malgré les obstacles à la recherche en période de pandémie, j’ai pu travailler sur le projet Namibia Children’s Worlds l’été dernier », écrit Samir Gouin au sujet de son expérience dans McGill Perspectives on Global Health.

Dans le cadre du projet, les chercheurs ont mené une enquête auprès d’élèves des 4e et 6e années dans la région de Khomas afin de déterminer leur niveau de satisfaction à l’école, à la maison et dans leur quartier.

« Mes superviseurs m’ont encouragé à abandonner la théorie pour rédiger un article destiné à un lectorat qui bénéficierait des résultats de la recherche », indique Samir, qui a reçu le prix Leduc, Davis, Brun et De Rito pour les étudiants de premier cycle en santé mondiale.

« En collaboration avec un magazine local destiné à la jeunesse, nous avons créé une bande dessinée adaptée à la culture locale qui mettait en évidence certaines des conclusions intégrales de l’enquête », ajoute Samir, un étudiant en neurosciences qui se passionne pour l’étude des écarts entre les niveaux de mieux-être dans le monde.

Nardin Farag

Pendant l’été 2019, Nardin Farag (photo ci-dessus), boursière en santé mondiale, a passé deux mois en Équateur aux côtés d’agents de santé communautaires dans des communautés autochtones afin de mieux comprendre les difficultés qui s’attachent à la mise en œuvre de programmes de micronutriments.

« Au sujet de la santé mondiale, le Dr Madhukar Pai, mon professeur, dit qu’il est impossible de comprendre pleinement ce que sont les problèmes de santé mondiale et les inégalités en matière de santé si on n’a pas eu l’occasion de se rendre sur place pour les voir de ses propres yeux, et d’après mon expérience, je peux confirmer ses dires », déclare Nardin, qui a bénéficié d’un financement offert par le Fonds Joseph I. Wolfsdorf pour la santé mondiale des enfants.

« Après un voyage, on a envie de traduire ses idées en actions concrètes, dit-elle. Je pense que nous sommes très chanceux d’avoir un tel programme ouvert aux étudiants de premier cycle. Il offre des possibilités extraordinaires de créer des partenariats au niveau international et de travailler sur des projets viables avec d’excellents superviseurs. »

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