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Je Donne

Une formation branchée sur le XXIe siècle

Grâce au mentorat auprès de diplômés et à l’apprentissage expérientiel, nos étudiants forgent leur avenir

McGill students Hilary Lee, Charles Lowe, Rachel Korman and Balarama Holness
Hilary Lee

Hilary Lee

L’aide peut prendre diverses formes. Hilary Lee, étudiante à la Faculté de gestion Desautels, a vu ce que peuvent accomplir les diplômés et amis de la Faculté lorsqu’ils exploitent leur ressource la plus rare : le temps.

À titre de coordonnatrice pour le programme estival Accélérateur X-1 du Centre Dobson, destiné aux jeunes pousses, elle devait jumeler des équipes d’étudiants à des mentors issus du réseau mcgillois.

« Nous mettons les équipes en contact avec des mentors spécialistes de leur domaine, explique Hilary. Les liens qui se créent persistent souvent après la fin du programme parce que les mentors sont généralement des personnes qui veulent vraiment aider. »

Sa participation au sein du Centre Dobson lui a donné la chance d’élargir son propre réseau et même de trouver un stage d’été après une rencontre avec un juge de la Coupe Dobson. Tout en veillant au bon déroulement du programme Accélérateur X-1 pendant l’été 2019, elle a travaillé à distance pour l’agence dim3branding, de New York, à la création d’une application qui sera lancée pour les Jeux olympiques de 2020, à Tokyo.

Rachel Korman

Rachel Korman

Grâce à une aide financière, Rachel Korman, étudiante en médecine dentaire, a consacré trois étés à un projet de lutte contre la surprescription d’antibiotiques en chirurgie buccale et maxillofaciale.

« Une crise des antimicrobiens sévit actuellement dans le monde : on prescrit trop d’antibiotiques, et les bactéries sont de plus en plus résistantes », explique-t-elle. Après une année passée à scruter des dossiers de patients, l’équipe du Dr Nicholas Makhoul (D.M.D. 2005) a recommandé le recours à la prophylaxie plutôt qu’aux traitements postopératoires classiques – et cette idée a fait du chemin.

Rachel a beaucoup appris de ce projet, et elle peut désormais répondre aux questions des autres étudiants. Elle est maintenant en troisième année, et elle acquiert de l’expérience pratique en travaillant dans les cliniques communautaires de la Faculté, qui fournissent des soins dentaires à des populations mal desservies. Le programme est presque totalement financé par les donateurs, notamment par l’intermédiaire du Fonds McGill.

« Je suis convaincue que cette expérience façonne le clinicien en formation, dit-elle. Une fois installé dans sa profession, ce même clinicien saura à quel point il est important de donner au suivant et combien la recherche peut améliorer les traitements. »

Charles Lowe

Charles Lowe

Si vous interrogez Charles Lowe, étudiant en jazz, au sujet du programme travail-études de McGill, il vous répondra sans hésiter que ce programme a changé sa vie.

Financé par des dons versés au Fonds McGill et par les droits de scolarité payés par les étudiants, le programme travail-études donne aux étudiants la chance de gagner un salaire et d’acquérir une expérience précieuse sans trop s’éloigner des salles de classe.

« Souvent, il faut que je sois dans une salle de pratique sur le campus, précise Charles. C’est une chance incroyable pour moi d’avoir un travail et un salaire réguliers sur place, à McGill. »

Charles, qui en est à sa troisième année en interprétation jazz et à sa troisième année du programme travail-études, a travaillé à la réception de l’École de musique Schulich, a passé un été à faire de la gestion de données et a acquis une belle expérience en coordination d’événements.

« J’ai également entrepris une mineure en entrepreneuriat musical, ajoute-t-il. Je suivais donc des cours de théorie de la gestion, que je pouvais immédiatement mettre en pratique dans mon travail. Cette expérience est vraiment précieuse, parce que j’aimerais faire carrière en gestion des arts ou de la musique. »

Balarama Holness

Balarama Holness

Ancien enseignant, Balarama Holness croit en l’apprentissage expérientiel, et on peut dire qu’il a bien profité de ses débuts à la Faculté de droit de McGill. La première année, il a fait campagne pour devenir maire de Montréal-Nord, et la deuxième année, il a fait pression auprès de la Ville de Montréal pour qu’elle tienne des consultations publiques sur la discrimination systémique.

Il voulait simplement rapprocher la réalité des principes de la Charte canadienne des droits et libertés : « nos politiques et pratiques municipales sont-elles constitutionnelles? »

En février 2019, il a organisé un congrès d’une journée avec le soutien de l’Association des étudiants noirs en droit de McGill. Les étudiants ont entendu des juristes spécialisés en recherche, en politiques et en entrepreneuriat social qui luttent contre la discrimination au Canada.

Peu importe leur montant, tous les dons qui sont versés au Fonds McGill servent à financer les priorités de la Faculté, notamment les associations étudiantes comme l’Association des étudiants noirs en droit de McGill. Et grâce à ce soutien, « je peux utiliser les connaissances que j’acquiers en classe pour faire bouger les choses dans la collectivité », ajoute Balarama Holness.

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