Le parcours d’étudiant-athlète de Mike Richards (B.A. 1960, B.C.L. 1963) a de quoi impressionner : pendant les cinq années où il a fait partie de l’équipe de hockey universitaire, il a été nommé joueur s’étant le plus amélioré, joueur le plus utile, capitaine de l’équipe et membre de la Société Scarlet Key.
« J’ai adoré mon expérience à McGill, car j’avais la chance de participer à des compétitions de hockey tout en poursuivant mes études », dit-il.
Il affirme que l’Université a contribué à sa réussite professionnelle en tant qu’associé principal en droit des sociétés et en droit commercial au cabinet Stikeman Elliott. « McGill m’a apporté un soutien exceptionnel, assure-t-il. C’est en grande partie grâce à mes études en droit et à ma participation à la vie étudiante que j’ai mené une brillante carrière. »
Aujourd’hui, 60 ans plus tard, Mike Richards continue d’impressionner par son action à McGill. En plus d’avoir été intronisé au Temple de la renommée sportive en tant que bâtisseur, il a occupé de hautes fonctions, notamment durant 10 ans au conseil d’administration (dont il est maintenant administrateur émérite) et pendant plus de 10 ans à la présidence du conseil consultatif du Service des loisirs et des sports, sans compter ses 50 années à la Fondation Martlet, qui offre des bourses et des prix aux athlètes et autres étudiantes et étudiants remarquables.
« Les athlètes d’aujourd’hui m’inspirent beaucoup pour leur intelligence, leur dévouement et leur discipline personnelle, souligne-t-il. Ces jeunes consacrent un nombre incalculable d’heures à leur sport sans sacrifier la qualité de leur travail en classe. Je tiens à leur donner les mêmes chances que j’ai eues à l’époque où j’étais étudiant-athlète à McGill. »
Et pour ce faire, il a établi les bourses de hockey Mike-Richards, il verse un don chaque année et il a institué dans son testament un legs à McGill.
« C’était évident pour moi que mon legs irait à McGill, soutient-il. Je n’étais qu’un simple garçon de Lachine venu jouer au hockey et étudier le droit en ville. McGill m’a ouvert tellement de portes que c’en est à peine croyable. »
En plus de donner à son alma mater, il a décidé de se faire ambassadeur des dons planifiés pour le Service des loisirs et des sports. Il espère convaincre d’autres diplômées et diplômés de faire comme lui un don testamentaire au bénéfice des athlètes de demain.
« L’avantage d’un legs, c’est qu’il ne vous prive de rien, et quand vous ne serez plus là, il allégera le fardeau financier des futures générations d’étudiantes et étudiants, explique-t-il. Je ne saurais trop vous conseiller de donner aux athlètes de demain, qui en ont un immense besoin. »
Soutenez McGill pour son troisième siècle. Faites un don testamentaire dès aujourd’hui.